Issu quasi exclusivement de l’ugni blanc, un cépage acide et moyennement aromatique, il est transformé par la double distillation charentaise, dans des alambics en cuivre, appelé alambic charentais ou à « repasse ». Le distillat, appelé « cœur de bonne chauffe », titre autour de 70 % vol. et exprime une grande pureté. Commence alors le long travail du vieillissement. Les fûts, obligatoirement en chêne, apportent des tanins, de la vanilline, et favorisent une lente micro-oxygénation. La part des anges, cette évaporation annuelle de 2 à 3 %, façonne le destin de chaque lot. Avec le temps, les notes parOle d’EXPERT Le Cognac est l’incarnation de l’art du temps L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.